swiss panerai replica watches vente en ligne, discount panerai luminor marina swan montres

Alexander Konovalov, Consul, Moscou

"La situation d'aujourd'hui se compare favorablement à 1998, quand tout s'est passé le même jour, et à partir de 2008, lorsque les ventes ont chuté de 10% par mois pendant six mois. Maintenant, il n'y a pas une telle chose. "

En préparant l'article sur la situation sur le marché pour le numéro d'octobre du magazine "Sentinel Business", la rédaction a interviewé les chefs d'entreprises de différentes villes du pays. Nous avons demandé aux entrepreneurs de comparer les crises passées avec la situation actuelle, de parler de la dynamique et des caractéristiques de la demande, de leurs plans, de leurs évaluations et de leurs points de vue sur l'avenir. Nous offrons de courts extraits d'entrevues.

En général, notre société ne ressent pas encore de baisse particulière. En septembre, les ventes n'étaient pas très bonnes, en août elles étaient normales.

La situation d'aujourd'hui se compare favorablement à 1998, lorsque tout s'est passé le même jour, et à partir de 2008, lorsque les ventes ont chuté de 10% par mois pendant six mois. Maintenant, il n'y a pas une telle chose. Oui, il y a une certaine dépression, mais le chiffre d'affaires reste à peu près au niveau de l'année dernière. Il a légèrement augmenté en roubles, mais est tombé en monnaie.

À l'heure de la vente cette année, rose, pour les bijoux - est tombé. Le marché des bijoux dans son ensemble se sent pire que la sentinelle.

Les mesures prises par l'entreprise ne sont pas déterminées par la situation réelle sur le marché mais par la présentation de l'entreprise sur ce qui va se passer ensuite. En passant, 1998 était simple du point de vue qu'il était clair que faire: aller dans l'argent, acheter des devises et s'asseoir. En 2008, il n'y avait pas une telle compréhension, il y avait une grande incertitude. Par exemple, il n'était pas évident que la monnaie soit la meilleure solution. En 2008, nous avons massivement fermé les magasins. Il y a eu des cas où les propriétaires ont offert de quitter le magasin, réduisant le loyer au niveau du paiement seulement pour les frais de services publics. Mais toujours fermé, parce que les ventes sont tombées tellement que le produit n'a pas couvert la zone communale et le salaire.

Maintenant, il y a une lente détérioration. On ne peut pas dire que la situation est bonne ou super mauvaise: c'est fastidieux. La demande diminue lentement, tout le monde fait quelque chose, prend certaines mesures, mais il est clair que le marché dans son ensemble ne va pas grandir. Et quand vos efforts conduisent à un maximum de préservation de l'ancien résultat, cela provoque une irritation.

Ce qu'il faut faire n'est pas clair. Nous avons la même situation lorsque la grenouille bout lentement. Les fabricants en rapport avec l'augmentation des coûts veulent augmenter leur marge en raison de la marge des magasins. À son tour, le commerce de détail veut également avoir une bonne marge, car il doit accorder des rabais aux clients. En conséquence, quelqu'un va fermer, le reste va vivre. Regardez le marché du tourisme: là, les entreprises survivantes disent qu'après une série de faillites, il leur est devenu plus facile de travailler.